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dc.contributor.authorNdungu, Gitonga F.
dc.date.accessioned2023-10-31T07:30:23Z
dc.date.available2023-10-31T07:30:23Z
dc.date.issued2020-09
dc.identifier.citationJournal of Language, Technology & Entrepreneurship in Africa / Vol. 11 No. 1 (2020)en_US
dc.identifier.issn1998-1279
dc.identifier.urihttps://www.ajol.info/index.php/jolte/article/view/199490
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/6411
dc.description.abstractCe numéro s’est ambitionné de mener une réflexion sur l’analyse de l’occurrence de l’erreur. Ainsi, ont été cernées des difficultés d’ordre grammaticales à l’oral et à l’écrit auxquelles font face des apprenants kenyans du FLE au lycée. Pour y arriver, nous nous sommes concentrés sur les erreurs qui caractérisent le plus, les productions orales et écrites des apprenants. Nous avons dans ce but, collecté des données écrites et orales auprès de 96 de ces lycéens venus de huit lycées de Nairobi et de sa banlieue. Ces huit lycées comprennent quatre lycées de filles et quatre lycées de garçons. Les élèves de deuxième, troisième, quatrième année et dernière années du lycée représentent le groupe-échantillon des participants dans les huit lycées. Deux tâches linguistiques ont été proposées aux participants : un exercice d'expression écrite et un travail d'expression orale sur un thème donné. Ces activités orales et écrites étaient identiques pour l’ensemble des trois séances ainsi que pour tous les participants en deuxième, troisième et quatrième années ayant les mêmes consignes. Nous avons relevé des erreurs morphosyntaxiques portant sur les syntagmes nominaux et verbaux dans les productions écrites et orales recueillies auprès des lycéens kenyans. Malgré́ la difficulté de dissocier des éléments morphologiques et lexicaux (Alvarado 2017), cette description a tenté d’analyser ces erreurs. La description et étiologie des erreurs a été réalisée à partir d'une grille répertoriant quatre grandes catégories d’erreurs, à savoir, les erreurs par substitution, par omission, par addition et par positionnement/placement. Nous avons constaté d'abord que les erreurs morphosyntaxiques par addition, par substitution, par omission et par placement/positionnement n’obscurcissent pas pour autant la transmission de 1 J.-L.Bouraoui et al 2007 Prolégomènes à l’étude des erreurs en production écrite. Propositions en vue de la mise au point d’une grille d’analyse. L’idée générale dans l’ensemble des productions orales et écrites. Il s’est avéré́ ensuite que dans la plupart des cas, les élèves améliorent leur usage des éléments grammaticaux entre la première et la deuxième séance de collecte de données, ce qui implique que les énoncés erronés de la deuxième et de la troisième séance comportent généralement moins d’erreurs morphosyntaxiques au sein du même syntagme que ceux de la première séance. Troisièmement, il été remarqué que la réflexion sur la paire erreur/ énoncé́ concernant la même construction grammaticale chez le même élève fait ressortir les conclusions suivantes : les deuxièmes ou troisièmes énoncés produits par le même élève sont bien meilleurs que les premiers énoncés. (Par 'meilleurs', nous entendons que ces énoncés respectent mieux les règles morphosyntaxiques). Enfin, il a été souligné que dans certains cas, une fossilisation de quelques erreurs : il s’avère, dans ce cas, que la progression dans l’acquisition du FLE n’a pas empêché la reproduction des mêmes erreurs par les mêmes élèves. A travers les trois séances, il est possible que le développement de l’interlangue ait pu être arrêté avant que les normes de la morphosyntaxe du français, la langue cible, n'aient été bien assimilées (Luzar N. 2012)en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherJournal of Language, Technology & Entrepreneurship in Africaen_US
dc.titleRéflexion sur l’occurrence de l’erreur en FLE auprès des apprenants multilingues anglophonesen_US
dc.typeArticleen_US


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